dimanche 31 août 2008

c'est tout, pour le moment


On à été, on est et on sera les popinettes

A base de Bazar, de bisous, de siestes, de larmes, de glaçons,
de cris, d'alcool, de rires, de délires.

à suivre...

jeudi 28 août 2008

*



tout cela me manque alors j'y pense...
et j'ai l'sourire aux lèvres, les yeux en l'air...
j'ai mal au ventre, comme quand il pleut en mer...
il ne me reste plus qu'un dernier vœu a faire...

mercredi 27 août 2008

wasted day


VDM

Aujourd'hui j'ai attendu un appel téléphonique toute la journée devant un téléphone qui n'a jamais sonné, dommage parce que cet appel aurait pu changer ma vie de nerd, c'est le point de départ de mon plus grand rêve (après devenir maitre du monde et me taper Pharell dans un Hummer limousine, bien évidemment.). Aujourd'hui je n'ai donc rien fait, même pas une douche, résultat je pue, je m'emmerde exponentiellement et je suis à la limite de la crise de boulimie (y'a t-il du nutella pour sauver mon âme? sucre + chocolat + gras = extase) . En plus je suis pauvre alors que samedi sera surement la soirée la plus chère de l'année (faut dire que y'a eu une inexplicable pluie d'open bar sur Aix). Et en plus un gang de fourmis rouges terroristes à cru bon de venir coloniser ma chambre: d'ici là qu'elles me dévorent, c'est le début de la fin. Mais heureusement mon amie Mélody, qui est la fille la plus forte que je connaisse, m'a expliqué qu'il ne fallait pas s'en faire : " On s'en fout, du moment qu'il y a de l'alcool sur cette terre, tout rentrera dans l'ordre..." et là je dis, Paris et Nicole, c'est nickel on picole!



pix: Le destin de Mélo (merci)

mardi 26 août 2008

shush



Se la supporter, elle et son humeur en dents de scie. Elle, celle l'ouvre quand il ne le faut pas et qui s'écrase quand elle devrait s'exprimer... Cette Relouraleuse, Caprichieuse, Provochiante. La prévisiblement incontrôlable. Complètement casse bonbon sans raison. Méchante juste par habitude. Vexante parce que c'est mieux que de passer inaperçue. La moitié qui tire vers le bas. La moitié qui empeche d'etre soi. Bon... promis, demain je la vire une fois pour toutes.
Shut the fuck up L.O.L.I.S.A. !


pix: un film de cubes


dimanche 24 août 2008

ville gay, ville gaie



Demain c'est Montpellier, The city where the sun never sets :
le soleil, ma femme, la belle vie quoi.


pix : mon coin de ciel bleu

samedi 23 août 2008

the answer is C18H21NO3


Une petite chose crispée, en boule dans le lit, la boule dans la gorge, les larmes au bord des yeux, les cris au bord des lèvres. La tête dans ses mains, sa tête à l'envers, sa tête pleine, sa tête lourde sur ses toutes petites épaules. Une chose fragile, une chose faible, une chose étrange. Les poings fermés, prête à combattre cet ennemi insaisissable. A bout de forces et au bord de la crise, elle s'efforce de se redresser sur ces jambes frêles. La lumière, le silence, le bruit, tout résonne dans ce fouillis qui lui sert de pensées. Elle se fraye un chemin dans sa douleur, fouille et trouve.

gélule+ eau+30 minutes = soulagement

L'extase commence, yeux plissés, pouls ralenti, corps détendu. Cette petite chose frêle, vulnérable, NON ce n'était pas moi. Juste l'ombre de mes soucis, la chrysalide des ennuis, le résultat de l'addition des problèmes. Seulement voilà, si le sac de nœud reste emmêlé, elle reviendra.

pix: codéine mon amie

jeudi 21 août 2008

ze poste rouge


Même sans son micro, il est beau.

mercredi 20 août 2008

à base de pop pop pop hop

.



âmes d'enfants piégées dans des corps d'adules...




à noter:
la voix un tantinet coquine du refresh, et le mode bourrin-compressor si vous cochez la case.

...Et pour une fois, quand y'en a plus y'en a encore (ello va pouvoir nous les briser à l'infini )

c'est des conneries tout ça




Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon semblable à cent mille petits garçons, et je n'ai pas besoin de toi et tu n'as pas besoin de moi non plus, je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais si tu m'apprivoises, nous auront besoin l'un de l'autre:

tu seras pour moi unique au monde, et je serais pour toi unique au monde.



BIG UP my Robinouz
(sauf que comme on est des jumeaux séparés à la naissance,on est pas vraiment unique au monde mais bon, presque)

mardi 19 août 2008

she loves me - she loves me not




"JE NE SAIS PAS" est la seule réponse que j'ai trouvé à la question

de savoir comment tous deux nous avons fait pour arriver à cette situation.
Je me souviens que nous marchions apercevant le bonheur à l'horizon
J'en déduis donc qu'à un moment nous nous sommes trompés de direction.



Ou débat sur l'écart entre "à la folie" et "pas du tout". Ou comment il est possible, qu'on adopte une attitude ou l'attitude inverse, de créer la discorde. Dépasser les bornes alors qu'on avance pourtant avec la plus grande précaution. Se sentir impuissante, et pourtant être à la cause de ces larmes. La crise empire alors même qu'on essaye de la gérer. Lorsque faire des efforts rime avec empirer la situation, lorsque toutes les phrases deviennent des critiques, lorsque toutes les discussions se terminent par des cris. Lorsque les portes qui claquent servent de point final. Lorsque toutes les tentatives pour recoller les morceaux ne nous rendent que plus fragiles. On ne fait plus rien pour rattraper le coup, puisqu'il n'y a plus rien à sauver. Lorsqu'on a plus qu'une solution, se fuir. Je ne suis pas lâche, je préfère de loin une engueulade qui remet les compteurs de rancœur à zéro plutôt que l'ignorance.

Mais je ne vois pas d'autre fin à cet épisode.

Tu vois: de l'amour à la haine il n'y a qu'un pas.

C'est triste, mais on ne peut rien y faire.


sugar + fuzati - de l'amour à la haine.

mercredi 6 août 2008

si tu crèves jte jure que jte tue


Je suis en vie à mort La mort jusqu'ici

J'avais préparé un grand article pour dire plein de trucs intelligents et moralisateurs sur SAM (ou BOB chez vous) ... mais en fait ça m'a donné la gerbe et comme j'étais déjà gavée de Häagen Dasz Pralines & Cream, pareillement à cette triste soirée d'il y a environ un an et demi (big up Aline, ILY) j'ai préféré laisser tomber. T'es grand. (même un peu trop parce que je dois me mettre sur la pointe des pieds.) Moi, je suis petite. (Et en conséquence tout ce qui sort de ma bouche est rarement pris au serieux.) C'est juste que dans des moments comme ça je pense à celui qui me pourrit la vie, celui à qui je déteste penser, celui sans qui pourtant je ne serais jamais venue au monde. C'est juste qu'en fait c'est chiant d'aimer parce qu'on s'inquiète pour l'autre.
oh, j'en pleurerais... dit le renard
Love sucks, let's fuck . Trêve de plaisanteries sérieuses, il y a une vie après la Party, et vu l'heure il est temps de reprendre la mienne en main. (de vie, pas de party.) Mode maman-mégère off.

D'autres plaisirs m'attendent, je speed si je reste immobile.
La dead line arrive, je n'ai pas peur, attrapes-moi si tu peux, je vis à 100 à l'heure.



sugar+Yelle-Tristesse/Joie
pix: not mine.

Avec en guest star Bourdon lisant Le petit prince dans les 3 frères.


tchiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii tchaaaaaaaaaaaaaa

lundi 4 août 2008

au commencement, il n'y avait rien .

ou presque :




Merci Mlle Paris...

pix: exutoire pour pensées non écrivables.

Ma part du ghetto


Te souviens tu des instants, adolescents insouciants,

quand notre envie de tout vivre était
plus forte que le temps...?


Te souviens tu des balades, des aventures, des moments,
quand devant le crépuscule
on se rêvait plus grands...?

J'ai beau retourner notre histoire dans tous les sens, je ne vois vraiment pas dans quel virage on est sorties de la route. Peut-être qu'on a simplement pris un raccourci, qui au final n'en est pas un. Est-ce que je t'ai poussée sur le bas-côté, est-ce que tu m'as entrainée sur les chemins de l'école buissonnière? Est-ce par hasard qu'on avance en mode un pas en avant deux en arrière chacune de notre coté... Je commence à me demander si on est pas allées trop loin dans la déprave, à un moment ou l'amnésie était mon amie et que ça me faisait pleurer des larmes aussi crades que mes pieds, sans chaussures ce soir là. Même si maintenant ça nous fait bien rire de repenser a ces aventures, et même que quelque part ça m'a plu le mode no limit, c'est probablement à cause de ces événements que maintenant la vie est fade. Pourtant quand j'arrive à prendre du recul, ça me parait tellement facile de sortir la tête de l'eau, de mon côté autant que du tien. Seulement je crois qu'on attend un élément perturbateur qui ne viendra jamais, le déclic qui fout la trique. Tellement fatiguées par la vie que j'ai l'impression qu'on se lèvera le cul seulement quand on sera sures de réussir. Mais où est le chalenge alors? Et le mérite? Quelle satisfaction va t-on tirer de ce qui est gagné d'avance? Perso, je me sent bien dans ma merde. Même si je sais que je serais mieux ailleurs, la peur de se casser la gueule est plus imposante que l'envie de réussir. Je ne sais pas par où commencer pour avancer. Mais la donne a changé. Je m'en foutais d'être ghetto blasée tant que c'était pas contagieux. Je finis par me demander si au final la théorie des dominos marche vraiment à l'envers. Alors je m'escuse de ne pas pouvoir prendre ta main et t'emmener loin. Peut-être demain...

la zik le smurf. la sape les clubs. les filles les pleurs.
je me rappelle des dimanches matins et des silences immenses... des histoires chuchotées le soir dans des parcs dans des squares sur des lacs dans des bars dans des barques dans des boîtes. Les regards encrés dans ma mémoire.
les déboires, les larmes.
On se resserre on se rapproche on se rassure on se raccroche...

La pizza chaude, on a les meilleurs ingrédients mais le four déconne.



sugar + TTC - Antenne 2
pix: déprave night

dimanche 3 août 2008

Wake up Bitch...Following the white rabbit will only bring troubles.



Choisir la pilule bleue ou la pilule rouge.

Choisir de se mettre de la merde devant les yeux, ou de voir les choses en face. Se bercer de douces illusions ou se confronter à la dure réalité. Choisir un mensonge facile ou une vérité dure à assumer. Parce qu'il est plus facile d'être lâche et plus difficile d'être honnête. Si je ment, personne ne le saura... la culpabilité finira pourtant par me bouffer. Alors pour moi, ce sera la réalité, mais décalée, revisitée, remixée... La vie à travers des yeux d'enfant, oui, mais d'enfant terrible.